Côte d’Ivoire :Bouaké /L’Union des radios de Gbêkê organise un panel d’échange avec les populations.

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Unite.ci : C’était en marge de la journée internationale des radios qui s’est tenue le 13 Février dernier, que l’union des radios de Gbêkê (URG) a initié un panel de formation et d’information à l’Institut ivoire prestige et formation ( IPF-Bouaké).

Photo de famille

Ce panel qui s’articulait autour du thème » Relation entre les radios et les populations » s’est tenu le samedi 19 Mars 2022 et avait pour objectif de renforcer les liens entre les radios et es auditeurs afin d’améliorer les rapports de proximité. Ainsi, ce panel a été animé par L’honorable Barro Souleymane( chef de cabinet politique d’Amadou Koné), Konaté Moussa( menbre du CNJCI), Issouf Sylla( journaliste à la retraite) et d’Alex Yao( président de l’URG) et après des heures d’échanges plusieurs zones d’ombres ont été éclairée. À cet effet, Alex Yao, président de l’Union des radios de Gbêkê a expliqué que cette activité est un pont de rapprochement entre les radios et les populations étant donné que la région de Gbêkê compte 22 radios.

L’Union des radios de Gbêkê organise un panel d’échange avec les populations.

 » L’union des radios de Gbêkê n’a pas voulut rester en marge de la journée internationale des radios et a décidé de parler de l’importance de la radio pour la communauté. À travers ce panel on peut retenir que la confiance existe entre les radios et les populations et il faut que les radios s’organisent encore plus pour mériter cette confiance. Nous sommes des radios de proximité alors il faut qu’on aille auprès des populations pour s’imprégner de leurs réalités afin de les relayer sur nos stations. Toutefois, nous devons également diversifier nos productions et surtout diffuser nos programmes en langue locale », a t-il fait savoir.

 

Pour sa part, L’honorable Barro Souleymane a invité les radios à faire preuve de professionnalisme afin d’éviter de tomber dans les fake-news. Par ailleurs, il a invité les étudiants à se faire former s’il désiraient faire ce métier car aujourd’hui tout le monde se croît journaliste à cause des réseaux sociaux et cela cause la manipulation de l’information.

 

Stéphane Kouakou

 

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